Cerveau droit (CD): Pfff, j'aimerais tant être ailleurs...
Cerveau gauche (CG): Pourquoi ? Et où d'abord ?
CD: C'est pas tant où, qu'avec qui...
CG: Ah... Tu penses encore à elle ? Mais pourquoi tu t'accroches ? Elle t'a dit que ce n'était pas la peine.
CD: Oui mais bon, elle a aussi dit que c'était une question de moment, pas une question de personne
CG: Ouais ouais, mais n'empêche que hein, elle a dit non.
CD: Oui... Mais on s'entend super bien, on garde le contact et les moments de complicité, je ne les ais pas rêvés
CG: Et ? On peut être complice sans que ça aille plus loin, tu sais que c'est possible
CD: Ah oui, ça je sais. Mais là, j'ai l'impression que y'a un truc en plus...
CG: Quoi ? La distance peut être ? Franchement, suis son conseil et intéresse toi un peu aux lyonnaises.
CD: Mais la distance on s'en tape. Et puis les lyonnaises, lesquelles ? Désolé, mais je ne peux pas l'oublier.
CG: Arf, arrête, il s'est passé quoi ? Pas grand chose, un joli jeu de séduction, mais c'est pas comme si tu la connaissais depuis 10 ans !
CD: Mais y'a pas besoin de ça, y'a des fois, le courant passe, très bien, et dans les deux sens. Et c'est une de ces fois là (enfin, c'est ce que je ressens)
CG: Y'en a eu d'autres des fois.
CD: Et ça s'est passé comment ? Mal peut être ?
CG: Bon d'accord. Mais n'empêche que faut pas trop te faire d'illusions.
CD: Oui, mais...
Le coeur: Eh c'est pas un peu fini là haut ! On s'entend plus ici. Arrêtez de débattre et laissez faire. Les sentiments, ça ne se réfléchis pas, ça s'exprime...
Dialogue en solitaire
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